Agroalimentaire

Des solutions efficaces

  • Contribuer à la diminution de la résistance microbienne par l’ajout de bactéries probiotiques, d’huiles essentielles ou de bactériophages microencapsulés dans les aliments pour animaux pour réduire les concentrations d’agents pathogènes comme Salmonella et Clostridium chez le porc et le poulet.
  • Découvrir un groupe de gènes de pathogénicité lié à l’entérite nécrotique chez les volailles, ce qui pourrait mener à la mise au point d’un vaccin pour protéger les oiseaux.
  • Mettre au point un procédé de détoxification des aliments pour animaux contaminés par la vomitoxine à l’aide de souches bactériennes et d’enzymes bénéfiques naturelles.
  • Démontrer que la transformation à haute pression est une méthode viable pour améliorer la sécurité microbienne des produits carnés à faible teneur de sodium.
  • Produire des données scientifiques critiques prouvant les avantages sanitaires des fibres alimentaires de l’avoine. Ces données ont favorisé l’acceptation, par les instances de réglementation, de l’allégation selon laquelle « les fibres d’avoine contribuent à réduire le cholestérol, qui est un facteur de risque de maladie du cœur ».
  • Fournir des données scientifiques pour l’industrie du soya ainsi que les organismes de réglementation dans l’approbation d’une allégation santé associant la consommation régulière d’aliments au soya et l’abaissement du taux de cholestérol.
  • Aider à démontrer la valeur nutraceutique des produits de blé violet, qui sont une source d’antioxydants naturels. Le blé violet est maintenant devenu une culture commerciale connue sous le nom d’Anthograin™.
  • Mettre au point une technique de décorticage des graines de lin qui est maintenant utilisée commercialement pour la création de nouveaux produits de santé et de produits de beauté destinés aux marchés mondiaux.
  • Valider des procédés de fabrication des aliments afin d’améliorer la salubrité microbienne dans les viandes prêtes-à-manger.
  • Mettre au point un type d’alpiste glabre en tant qu’aliment nouveau, qui a reçu l’approbation réglementaire de Santé Canada et de la Food and Drug Administration des États-Unis.
  • Mettre au point des pains à faible indice glycémique à base de pommes de terre et de légumineuses à grains à l’intention des consommateurs atteints de la maladie cœliaque et de maladies chroniques comme le diabète, les maladies cardiovasculaires et l’obésité.
  • Mettre au point une technologie d’extrusion pour fabriquer des bioplastiques à base d’amidon et de protéines comme matériaux d’emballage afin de prolonger la durée de conservation des aliments et de réduire l’impact environnemental des plastiques à base de pétrole.
  • Réduire l’utilisation des antibiotiques et diminuer la résistance aux antimicrobiens en ajoutant des canneberges et des sous-produits de bleuets nains (résidus de conserverie) aux aliments pour poulets à griller.
  • Découvrir un nouveau gène dans Salmonella heidelberg qui confère une résistance à la fosfomycine, qui est utilisée en médecine humaine, ce qui pourrait mener à de meilleures stratégies de détection et d’atténuation.
  • Contribuer au brevet américain : (US 9, 566, 322 B2) décrivant la découverte de cibles vaccinales et leur efficacité contre Staphylococcus aureus, un agent pathogène important pour la santé animale et les aliments.
  • Développer des technologies de séparation « écologiques » pour l’extraction d’ingrédients fonctionnels bénéfiques pour la santé dans les aliments par le biais de processus supercritiques à base de CO2 et d’eau sous-critique.
  • Développer une technologie innovante de microencapsulation « multicœur » pour améliorer la bioactivité des extraits riches en bioactifs en tant qu’ingrédients alimentaires favorisant la santé.
  • Mettre au point une technologie de microencapsulation pour la protection et l’administration ciblée de bactéries probiotiques chez les animaux producteurs d’aliments au moyen du séchage par atomisation. Cela permet la production de grandes quantités de probiotiques en poudre sèche en peu de temps et à faible coût.
  • Lancé la Banque de phages du CRD de Guelph qui contient des phages lytiques qui ont été caractérisés pour cibler différents pathogènes d’origine alimentaire comme Escherichia coli porteur de Shigatoxine (STEC), Listeria monocytogenes et Salmonella spp.