La croissance de canola, la production et la qualité sont influencées par la taille des graines et le taux d’ensemencement

Citation

Harker, K.N., O’Donovan, J.T., Smith, E.G., Johnson, E.N., Peng, G., Willenborg, C.J., Gulden, R.H., Mohr, R.M., Gill, K.S., Weber, J.D., Issah, G. (2017). Canola growth, production, and quality are influenced by seed size and seeding rate. Canadian Journal of Plant Science, [online] 97(3), 438-448. http://dx.doi.org/10.1139/cjps-2016-0215

Résumé en langage clair

Le canola représente la culture commerciale rentable la plus répandue au Canada. En 2014 et 2015, les expériences semées en direct ont été réalisées dans 16 environnements de l’Ouest canadien. Les « petites » graines de canola ont été comparées aux « grandes » graines de canola à cinq taux d’ensemencement. Les grandes graines de canola ont eu pour effet d’augmenter la densité et la biomasse des cultures, mais aussi pour effet de diminuer la mortalité des plantes, le nombre de jours pour le début de la floraison, le nombre de jours pour la fin de floraison, le nombre de jours de maturation et le pourcentage de graines vertes. La taille des graines n’a pas eu d’effet sur le poids des graines récoltées, la teneur en huile des graines ou la teneur en protéines des graines. Augmenter le taux d’ensemencement des petites graines de canola a eu pour effet d’améliorer le rendement du canola, mais la même réaction n’a pas eu lieu pour les grandes graines. Augmenter les taux d’ensemencement a aussi eu pour effet d’augmenter la densité des cultures, la mortalité des plantes, la biomasse des cultures et la teneur en huile des graines, mais aussi pour effet de diminuer le nombre de jours pour le début de la floraison, le nombre de jours pour la fin de floraison, le nombre de jours de maturation, le pourcentage de graines vertes et la teneur en protéines des graines. Le taux d’ensemencement n’a eu aucune incidence sur le poids des graines récoltées. Puisque les taux d’ensemencement plus élevés fournissent souvent certains des mêmes avantages que les grosses graines, les cultivateurs de canola et l’industrie des semences doivent trouver un juste équilibre entre la taille des graines et le taux ensemencement dans le but d’obtenir la meilleure performance agronomique du canola.

Résumé

Canola (Brassica napus L.) est la culture commerciale rentable le plus répandue au Canada. En 2014 et 2015, les expériences semées en direct ont été réalisées dans 16 environnements de l’Ouest canadien. Les « petites » graines de canola (moyenne de 3,32 à 3,44 g 1000-1) ont été comparées aux « grandes » graines de canola (moyenne de 4,96 à 5,40 g 1000-1) à cinq taux d’ensemencement (50, 75 100, 125 ou 150 graines m-2). Les grandes graines de canola ont eu pour effet d’augmenter la densité et la biomasse des cultures, mais aussi pour effet de diminuer la mortalité des plantes, le nombre de jours pour le début de la floraison, le nombre de jours pour la fin de floraison, le nombre de jours de maturation et le pourcentage de graines vertes. La taille des graines n’a pas eu d’effet sur le poids des graines récoltées, la teneur en huile des graines ou la teneur en protéines des graines. Augmenter le taux d’ensemencement des petites graines de canola a eu pour effet d’améliorer le rendement du canola, mais la même réaction n’a pas eu lieu pour les grandes graines. Augmenter les taux d’ensemencement a aussi eu pour effet d’augmenter la densité des cultures, la mortalité des plantes, la biomasse des cultures et la teneur en huile des graines, mais aussi pour effet de diminuer le nombre de jours pour le début de la floraison, le nombre de jours pour la fin de floraison, le nombre de jours de maturation, le pourcentage de graines vertes et la teneur en protéines des graines. Le taux d’ensemencement avait

Date de publication

2017-01-01